Comment se découvrir soi-même ?

Qu’est ce qui motive ?
Tout simplement pour ma part, être en cohérence avec moi et mes valeurs. Ne plus laisser le regard des autres ou les jugements guider notre vie pour être dans le moule et parfois justement en laissant nos valeurs de côtés. Pour moi c’est fini.

Mais c’est avec le temps que l’on y arrive. Il faut savoir pour quelle vie on veut se réveiller le matin, savoir ce qui donne sens à celle ci a nos yeux.

Est ce que je tends à un idéal ?? Je dirais oui dans le sens où je veux que ma vie est un sens à mes yeux.

Après tu me diras c’est quoi l’idéal ? Tout simplement la vie ou tu te sens bien, ou tu t’epanouis….

Bonsoir,
Je pense que pour apprendre à se connaitre soi même , il faut sortir de sa zone de confort.
C’est toujours dans les passages difficiles que l’on peut observer ses réactions, ses adaptations. On peut se mettre dans une situation inconfortable par sa propre volonté et aussi par sa relation avec autrui…
De ce fait on apprend à mieux se connaitre à savoir ce que l’on veut réellement et classer ses priorités de vie..l’essentiel
bonne soirée

Coucou,
Je ravie de découvrir ce genre de sujet ici, car je dois bien admettre que c’était une des raisons de ma recherche et de ma venue ici. Cela me ravie ! Alors pour commencer merci pour cette belle initiative ! 😊

Pour ma part, je travaille aussi beaucoup sur moi et ce depuis quelques temps déjà. Je me pose des questions sur moi même, j’analyse mes réactions, mes pensées. Savoir si elles sont le fruit de mes peurs ou si elles sont l’appel de mon moi profond.
Je rejoins filouzen et toupie.
Ce qui marche pour moi c’est de m’affranchir de mes peurs, de mes blocages (que l’on m’a inculqué ou que je me suis mise), je décide de ne pas alimenter mes doutes et mes angoisses.
Une fable amérindienne explique que l’homme est fait de 2 loup, un bon(le sage, l’amour) et un “mal” (la peur, les doutes) et qu’ils se livrent une bataille de chaque instant. Celui qui gagne est celui que tu nourri.
Depuis que j’ai entendu cette fable je l’applique des que je me rends compte de cette dualité interne. Je choisi de manière consciente les pensées que je nourri et celles que j’affame.
Je me libère également de la pensée des autres, comment ils pourraient me percevoir.
Alors oui, avec cet état d’esprit j’ai tendance à me sentir seule socialement parlant (et c’est sûrement ce qui me pousse à me trouver parmi vous ! 😅) car je constate malgré moi, que les personnes avec cette ouverture d’esprit sont rare. Mais paradoxalement je ne suis jamais seule, pas vraiment, car je me sens reliée en permanence à la nature, aux animaux et à chacun d’entre vous.

C’est un travail long et de chaque instant. Et je ne pense pas que ce processus aie une fin, si ce n’est la fin de la vie terrestre. Car nous sommes des créateurs et jour après jour nous ne nous découvrons pas, mais nous nous créons. On pense qu’on ne se connais pas et nous sommes parfois surpris de nous découvrir des choses que nous n’imagions même pas. Je ne pense pas que nous les découvrons, je pense que nous les créons. Elles n’étaient pas là auparavant, donc nous ne pouvions pas les voir.
Nous avons le pouvoir de décidé ce que et qui nous sommes. Et nous Avons surtout le pouvoir d’améliorer cette vision de nous même jusqu’à l’état ultime que nous décidons d’avoir pour nous même. De ce fait, je pense que le processus de création ne peux avoir de fin. Car quand nous découvrons la pureté et la véracité de notre âme, nous sommes irrémédiablement attiré par son évolution la plus ultime et la plus belle. Ayons une vision de nous même extrêmement élevée, car c’est elle qui nous fait prendre des risques et nous fait sortir de notre zone de confort.
Pour moi, la vie sans prendre de risque, sans “se mettre en danger” ne vaut pas d’être vécue.

J’ai pris le parti de devenir la vision la plus élevée que je me fais de moi même. Et comme j’aurai progressé, demain ma vision la plus élevé sera encore plus élevée.
J’ai choisi d’être ce que je veux pour le monde. En étant cela je peux être ce que je suis pour les autres. C’est un cercle vertueux celon moi.
En tout les cas c’est ce que je vis. C’est le chemin que j’ai choisi de suivre et il me rends heureuse.

L’indicateur pour savoir qu’elle est ta route est : ressent tu l’amour quand tu emprunte cette direction ?