Sommes-nous tous des malades mentaux ?
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28 décembre 2020 à 9 h 23 min #86359AnonymeInactif
Les psys prétendent à notre bien, mais tous ces qualificatifs péjoratifs en vue d’un « mieux-être », qui correspondraient à une sorte d’ idéal psychique et comportemental, ne nous desservent-ils pas plus qu’ils nous galvanisent et nous aident ? La définition de l’OMS de la santé mentale constitue une sorte d’équilibre parfait dans tous les domaines, mais tellement inaccessible pour la plupart des individus qu’on pourrait se demander s’ils ne ressentent pas davantage une sorte de malaise plutôt qu’une aide bienfaisante…
Avec ces centaines de concepts, symptômes, syndromes qui s’entrecroisent et s’enchevêtrent entre borderline, paranoïa sensitive, phobie sociale, schizophrénie, état-limite etc… comment se simplifier ? Sommes-nous tous des malades mentaux ?
Le DSM bible des psychiatre grossit à chaque édition avec de nouvelles maladies : deuil pathologique (après 15 jours!), trouble de conduite alimentaire, TDAH… et bien sûr ça fait marcher l’industrie pharmaceutique.
Bref qu’est ce qu’il faut dire à un psy pour qu’il nous trouve « normal » ? C’est quoi la normalité psychique ? Et finalement, la normalité en psychiatrie n’est ce pas le conformisme social ? N’est-ce pas aller au travail, fréquenter des collègues, et si possible avec un grand sourire ? (sinon on sera vite qualifié de “dépressif”).
Pourtant les gens normaux n’ont rien d’exceptionnel, et en toute franchise, les psychiatres peuvent-il accepter l’idée d’une grande marginalité (y compris dans la paresse, la misanthropie ou le pire comme l’assassinat) sans nécessairement la « rabaisser » à une pathologie quelconque ?
Donnez votre avis svp.(Je précise ici que je considère personnellement la psychiatrie comme une pseudo-science aux effets dévastateurs, mais ça n’est que mon point de vue personnel)
29 décembre 2020 à 10 h 54 min #86427AnonymeInactifVu comme ça, la médecine doit pouvoir aussi être vue comme une pseudo-science… aux effets dévastateurs 🙂 (même formation académique d’ailleurs 🙂 )
29 décembre 2020 à 12 h 39 min #86438AnonymeInactifNon, car la médecine classique se base surtout sur des élément objectifs : l’état d’un foie, la tension, analyse de sang etc…
Alors que la psychiatrie est essentiellement subjective. Presque rien n’est objectivable. On interprète un comportement, et l’autre en face de soi peut simuler.
Dans certains cas difficiles on a 10 diagnostics différents avec 10 psys qui observent la même personnes. C’est donc beaucoup plus hasardeux et aléatoire.
Les deux, psychiatrie et médecine classique, n’ont donc pas grand chose à voir.
Tu peux reconnaître au moins ça edouarke.29 décembre 2020 à 12 h 51 min #86441AnonymeInactif@Oswog Humour :”Non, il n’y a que toi et moi qui le sommes ici ! LOL”
Trêve de plaisanterie, toutes choses ici-bas possède son côté sombre et son côté lumineux. La normalité n’est pas un état immuablement définit, il fut un temps où l’homosexualité était considérée comme une maladie mentale par la psychiatrie, aussi dans certains établissements psychiatriques on allait jusqu’à faire des électrochocs à de pauvres cobayes humains volontaires ou non pour les remettre dans ce que certains appelait à l’époque le droit chemin de la normalité.
Tout ce qui existe comme pathologies diverses et variées pourrait être considéré comme étant normal car comme étant dans la norme actuellement, étant donné que ce qu’on appelle la norme c’est aussi ce qui est le plus répandu dans notre société.
Je précise que ma pensée est subjective et elle est également en quelque sorte ma philosophie propre ; je pense que ce qui est considéré comme étant pathologique c’est surtout ce qui peut nuire à l’individu comme à la société, le reste n’est que particularité singulière.
Ensuite pour en revenir à la psychiatrie, elle est à mon humble avis surtout utile pour les soucis d’ordres psychotiques qui doivent être traités médicalement pour en estomper les symptômes, concernant les névroses je préfère de loin en ce qui me concerne la psychologie pour aider l’individu à se comprendre lui-même, à observer ses fonctionnements et ses dysfonctionnements afin de trouver en lui les outils pour se réparer et évoluer plus sereinement.
Je parle en connaissance de cause, car j’ai suivi une psychothérapie avec un psychologue mais auparavant un psychiatre m’avait prescrit un traitement médical à base de molécules qui me rendaient amorphe, sans libido, dépendante, suicidaire etc… En fait ces molécules m’ont enfoncée un peu plus dans ma détresse psychologique au lieu de m’en sortir, cela n’a pas du tout bien fonctionné pour moi, par chance j’ai rencontré ce psychologue très bon thérapeute pour mon cas et je m’en suis sortie.
La thérapie ce n’est pas miraculeux non plus, la résilience on l’a continue chaque jour tout seul, pour cela il faut analyser ses émotions, ne pas les refouler, ne pas rejeter sur l’autre ou les autres notre mal-être, admettre que c’est en nous que se trouve les solutions et les problèmes et certainement pas à l’extérieur de nous.
Je suis persuadée que nous sommes l’unique cause de nos soucis existentiels, comme dirait mon mari : “ce n’est pas ce monde qui va mal, c’est l’idée qu’on s’en fait !”.
En d’autres termes tout es dans l’analyse personnelle que nous faisons des évènements extérieurs, il y a en chaque expérience négative une part positive à révéler, c’est en cela pour moi que nous pouvons tous être des résilients.
29 décembre 2020 à 12 h 58 min #86444AnonymeInactif29 décembre 2020 à 13 h 04 min #86445AnonymeInactifJe suis d’accord sur certaines choses et d’autres pas Astronat.
La “norme sociale” dépend et varie selon les époques oui, mais je pense que la “norme” en langage psychiatrique signifie davantage “absence de pathologie” et non pas conformisme social (en ce sens oui ils se sont trompés sur l’homosexualité jusqu’en 1990, sans doute à cause de Freud)
Sinon les psychiatres considéreraient comme “malades” tous les marginaux, et heureusement que ça n’est pas le cas.
Par exemple ceux qui choisissent la paresse, la misanthropie, sans la subir ne sont pas tous malades !
C’est pourquoi des assassins ou des bandits peuvent être reconnus comme “sain d’esprit” donc responsables et condamnables dans les tribunaux.
Donc ne pas confondre conformisme social avec le fait d’être sain d’esprit.D’autre part, même si la représentation du monde est sans doute aussi importante que le monde lui-même, je ne peux pas vous laisser dire que l’extériorité a peu d’importance sur notre psychisme !Peut-on être heureux SDF ou Juif à Auschwitz en 1943 ? Notre société contemporaine est-elle idéale ? La vie interne et externe ont toutes les deux leur influence, elle s’entremêlent, et chacune peut influer sur l’autre. Votre mari a donc partiellement raison ou tort, même s’il vaut mieux voir la bouteille à moitié pleine.
29 décembre 2020 à 13 h 38 min #86452AnonymeInactif@Oswog je ne viens pas ici confirmer ou infirmer, je viens donner mon avis et lire le votre, qui a raison et qui a tort, cela m’importe peu, vraiment très peu, je ne cherche ni à convaincre, ni a être convaincue.
Il est vain de vouloir convaincre cela j’en suis persuadée, chacun pensera et fera ce que bon lui semble sauf s’il est en présence d’une dictature ou d’un système intégriste, mais cela est un autre sujet.29 décembre 2020 à 13 h 46 min #86454AnonymeInactif“Peut-on être heureux SDF ou Juif à Auschwitz en 1943 ?”
On peut, moi je le vis en ce moment 🙂
L’intérieur, tout se joue là !29 décembre 2020 à 14 h 36 min #86458AnonymeInactifAstronat, les avis divergent oui
mais personne ne peut nier que 1+1 font 2
donc il y a aussi des vérité absolues
(mais ce qui n’est peut-être pas le cas dans ce débat)
Je souhaiterais juste avoir votre avis si pour vous “sain d’esprit” signifie conformisme social … et si pour vous des assassins peuvent être “sain d’esprit” au niveau de la Justice, c’est à dire avec aucune pathologie donc entièrement responsables. Merci.29 décembre 2020 à 14 h 39 min #86460AnonymeInactifJe crois que c’est la philosophie stoïcienne : seul l’intérieur compte, et peut agir sur l’extérieur…
J’y crois pas vraiment car quel que soit la maîtrise de nos pensées (et peu arrivent à maîtriser celles-ci), les données extérieures ont forcément une importance.
Ceci dit, Or , je ne connais ni ta situation personnelle ni la façon de gérer au mieux tes émotions.29 décembre 2020 à 15 h 04 min #86462AnonymeInactifBien sûr qu’elles ont une importance, et arriver à ce que les événements extérieurs ne nous atteignent pas est un travail colossal (en plus d’être un exercice de tout les jours jamais définitivement acquis). Peu d’humains y arrivent, non pas par manque de capacités, mais parce que la vie ne les pousse pas forcément dans leurs derniers retranchements (comme ce qui peut arriver dans des situations de souffrances extrêmes, comme la guerre, la misère, la maladie).
On a pas besoin d’être en paix intérieure pour vivre, juste pour vivre bien, nuance. Vivre mal ça on sait tous faire. Suffit de ne rien faire que se laisser emporter par le courant des souffrances. Vivre bien c’est un peu aller à contre-courant, ça demande de l’effort, du moins de mon point de vue (après plus tard on peut tomber dans les cascades du bien-être, et là aussi ça ne demande pas d’effort, juste de se laisser emporter. Mais faut déjà d’abord pouvoir les atteindre 🙂 ).
29 décembre 2020 à 15 h 11 min #86463AnonymeInactiftu penses comme les stoïciens (Marc-Aurèle ou Epictète) ou Frédéric Lenoir qu’on peut tout maîtriser par le mental ? j’en suis très dubitatif…
Comment tu vivrais ton mental torturée dans une geôle de Syrie ?Mais je recentre sur le sujet : c’est quoi être normal ?
et avec tous ces qualificatifs des psys : troubles, symptômes, syndromes, trouble de conduite alimentaire, deuil pathologique etc… Sommes nous tous des malades mentaux ?
Où sont ce les psys qui nous rendent malades ?
(en lisant le DSM on devient vite “dingue” en effet)29 décembre 2020 à 15 h 45 min #86464AnonymeInactifOui je le pense et je le vis. J’ai connu aussi quelqu’un qui a vécu dans un cachot minuscule, à qui on torturait fréquemment, et pourtant même à ce moment de sa vie il était plus libre que la plupart des vivants. Notre esprit a un potentiel énorme. Ne le sous-estime pas.
Rien n’est normal. La normalité n’existe pas selon moi. On a tous des dysfonctionnements, à l’image de notre société qui est dysfonctionnelle elle aussi. Là où je te rejoins, c’est que la psychothérapie peut avoir des côtés malsains, et te créer des maladies qui n’existent pas pour te vendre des médicaments et t’entraîner dans des thérapies coûteuses et interminables. Mais ce n’est pas représentatif de tout le corps du métier, à l’image de ce qui arrive aussi dans le secteur médical. Beaucoup de gens font ces métiers par vocation et sont bienveillants. Que tes mauvaises expériences ne te leurrent pas.
29 décembre 2020 à 15 h 53 min #86465AnonymeInactifmême avec un chalumeau enflammé sur la peau ou charcutée des heures tu arriverais à controler ton mental pour ne pas souffrir ? Faudrait que tu m’expliques…
Si les dysfonctionnements sont pour tous et que personne n’est vraiment normal, changeons la question : qui n’a pas de maladie mentale ?
Si tu élimines :– dépression
– trouble de l’humeur maniaco-dépressif
– schizophrénie et psychoses
– TOC
voire autres…les autres sont à peu près normaux ? et il en reste combien ??
29 décembre 2020 à 16 h 37 min #86467AnonymeInactifLa douleur physique c’est tout à fait autre chose. Elle est incomparable à la douleur psychique (infiniment plus forte). Peut-on contrôler son mental face à ce type de douleur ? Peut-être, je pense que certains moines guerriers en étaient capables avec un entraînement très rigoureux (aussi bien du corps que de l’esprit).
Mais c’est quoi que tu veux dire par normal ? La personne capable d’aller bosser sans nuire à personne ? On est quasiment tous normaux si c’est ça.
Aussi je pense qu’il faut arrêter de s’identifier avec la maladie. Si tu as mal à ta jambe, tu n’es pas un mal de jambe. Si tu fais ça tu te stigmatises bêtement…
Tu es un humain, point. Souffrir ou avoir des difficultés il n’y a rien de plus banal et normal. Ça fait partie de ce qu’implique être un être vivant.29 décembre 2020 à 17 h 04 min #86468AnonymeInactifOn parle ici de normalité non pas en tant que conformisme social, mais en tant qu’absence de pathologie… (ce qui prête souvent à confusion)
On peut être un assassin et sain d’esprit par exemple selon les psys.
Mais avec toutes les maladies du DSM, qui reste t-il de “normal” ?
En fait mon titre fait ici référence à un livre de Allen Frances, psychiatre américain qui critique le DSM5, pour dire qu’en 20 minutes de lecture il s’est déjà trouvé 5 maladies !!!
Les principales je les ai citées plus haut, mais on en aussi maintenant trouble de conduite alimentaire, addiction aux jeux vidéo, deuil pathologique (après 15 jours!!)
donc ça n’en finit pas
donc je demandais ironiquement : qui reste t-il de “normal” ?
OU comme le titre d’Allen Frances : Sommes nous tous des malades mentaux ?29 décembre 2020 à 19 h 01 min #86471AnonymeInactifJe vois. Dans ce cas là je dirais qu’il ne reste plus que les personnes qui ont consacré leurs vies à un chemin introspectif ou spirituel. Qui ont su dépasser toutes les difficultés qui les entravaient pour trouver une paix et une quiétude intérieure absolue. Autant dire que ça ne représente pas beaucoup de monde sur terre, haha…
29 décembre 2020 à 19 h 56 min #86475AnonymeInactifdans l’absolu oui peut-être
mais bon on pourrait aussi disserter sur qu’est ce que la folie
Erasme : “c’est une folie d’être sage dans un monde de fous”
Par hasard si on commet un délit, tu sais comment les flics choisissent entre prison et hopital psychiatrique ?29 décembre 2020 à 21 h 44 min #86477AnonymeInactifoswog :
“Tu peux reconnaître au moins ça edouarke. ”LOL 🙂 Désolé mais tu ne te rends pas compte du caractère tendancieux de cette remarque. “RECONNAITRE” “AU MOINS” est tendancieux… mais tu ne t’en rends même pas compte. On en arrive même à se demander si le fait que tu aies mal orthographié mon pseudo (edouarke au lieu edouarduke) plusieurs fois depuis que tu t’adresses à moi n’est pas un signe révélateur d’un certain mépris (?).
Comme je te l’ai dit sur un autre sujet : “la coexistence pacifique se construit à deux” et des remarques tendancieuses ne feront que m’inciter à t’en “donner pour ton grade.”Argumentons :
“Non, car la médecine classique se base surtout sur des élément objectifs : l’état d’un foie, la tension, analyse de sang etc”
La médecine occidentale (pas “classique”), comme celle orientale, se base sur des symptômes cliniques et non sur des “éléments objectifs”. Ces symptômes peuvent être plus ou moins objectifs. Certains sont déduis à partir d’un entretien avec le patient… exactement de la même manière qu’un psychiatre le ferait avec ses patients. D’autres sont plus “objectifs” car lié à la chimie ou à une inspection visuel à l’œil nu ou à l’aide d’appareils d’imagerie (radio, scanner, etc.). Le fait qu’il faille des fois voir plusieurs médecins pour avoir “un” diagnostique est bien la preuve que “les éléments” sont loin d’être “objectifs” et qu’il faille les interpréter.
“Alors que la psychiatrie est essentiellement subjective. Presque rien n’est objectivable.”
La psychiatrie utilise le même principe de diagnostique basé sur des symptômes cliniques qu’il faut détecter par un entretien avec le patient. En effet, la psychiatrie n’en ai pas encore au point d’avoir un scanner qui lirait les neurones pour qu’on puisse dire que celles ci sont “mal” connectées bien que les progrès en neuro sciences y arrivent doucement… mais je suppose que tu penses que la neuro science est aussi une pseudo science (?).
“On interprète un comportement, et l’autre en face de soi peut simuler.”
Oui, on peut simuler jusqu’à un certain degrés… et de même en médecine, on peut simuler jusqu’à un certain degrés… et en médecine il y a même des gens qui ont mal et la “médecine” répond : “mais vous n’avez rien !” “on a fait tout les tests nécessaires et vous n’avez rien”… mais pourtant les patients ont mal ou ont des troubles de fonctionnement “normal” et des fois on découvre des années plus tard qu’ils souffraient d’une maladie que la médecine n’avait pas encore “cataloguée”.
“Dans certains cas difficiles on a 10 diagnostics différents avec 10 psys qui observent la même personnes. C’est donc beaucoup plus hasardeux et aléatoire.”
J’aimerai bien savoir d’où tu sors ça 🙂 A mon avis, ça sort de tes préjugés sur la psychiatrie (ne te vexe pas surtout parce que j’ai dit que tu avais des préjugés… à moins que tu sois un être PARFAIT qui n’a AUCUN préjugés : tu serais bien le seul sur terre 🙂 ).
“Les deux, psychiatrie et médecine classique, n’ont donc pas grand chose à voir.”
Et si. Ça a beaucoup à voir. En plus de mes arguments plus haut, voici ce que j’ai trouvé sur internet après 10 secondes de recherche : très facile d’obtenir des infos sur le lien entre médecine et psychiatrie et ainsi d’apprendre :
“Études / Formation pour devenir Psychiatre
En tant que médecin, le·la psychiatre a franchi toutes les étapes du cursus des études de médecine puis s’est ensuite spécialisé en pédiatrie via un DES (diplôme d’études spécialisées) soit 10 ans d’études au total.
– DE de docteur en médecine
– DES de psychiatrie”“Tu peux reconnaître au moins ça edouarke”
Il me semble que je n’ai plus à répondre à ce commentaire et si quelqu’un devait “reconnaitre” quelque chose, on se demande qui c’est 🙂
As tu de ton côté répondu à ça :
” Comment une machine pourrait “grignoter” ” sur le travail intellectuel, social ou artistique” !? 😮 ”Le mieux pour “coexister” de manière “pacifique” est que je ne réponde plus à tes sujets… ce qui me laissera plus de temps pour des sujets plus intéressants d’ailleurs (de mon point de vue bien sûr 🙂 )
Bonne continuation 🙂
30 décembre 2020 à 6 h 57 min #86483AnonymeInactifOr :
“Vivre bien c’est un peu aller à contre-courant, ça demande de l’effort,”C’est d’ailleurs un peu la définition de “néguentropie” qui est définit comme le principe inverse de l’entropie. L’entropie explique l’univers et la néguentropie les mécanismes de la vie 😉
30 décembre 2020 à 20 h 48 min #86501AnonymeInactifNe sois pas parano car si j’ai esquinté ton pseudo, c’est uniquement parce que je l’avais mal mémorisé et non parce que je te manquerais de respect edouarduke.
Je crois que tu exagères fortement, car si on peut simuler un mal de ventre ou une crise d’épilepsie, les organes parlent d’eux mêmes et procurent des données objectives. Autrement dit les médecins avec des radios peuvent savoir avant le patient qu’il est malade et vraiment !! (cellules cancéreuses, sida etc…)
Or on ne peut pas voir les pensées, quoi que je ne prenne pas la neurologie pour une pseudo science !! (davantage la psychiatrie)
Je te jure sur l’honneur que la phrase sur les 10 psys et 10 diagnostics différents, c’est un haut Professeur en psychiatrie qui me l’a dite et je peux te le prouver (d’ailleurs si tu observes les tribunaux avec de grands criminels, les psys sont rarement d’accord).
Humblement ce professeur a reconnu que sa “science” est avant tout subjective et repose sur des interprétations.
Or un cœur ou un foie détraqué, quoi que dise le patient, on peut constater l’état objectivement, précisément, en détail, et sans la moindre subjectivité.31 décembre 2020 à 19 h 34 min #86530AnonymeInactifoswog :
“Ne sois pas PARANO car si j’ai esquinté ton pseudo… ”Apprends à lire : “…On en arrive même à se demander si le fait que tu aies mal orthographié mon pseudo (edouarke au lieu edouarduke) plusieurs fois depuis que tu t’adresses à moi n’est pas un signe révélateur d’un certain mépris (?)”.
Heureusement que je ne suis pas susceptible et que tu peux dire que je suis parano sans que je fasse un drama, un sujet sur toi pour dire que tu m’aurait dit “à chaque fois” que je te réponds que je suis parano et que je menace de quitter le site en demandant aux autres membres de s’en prendre à toi 🙂
Bonne continuation 🙂
1 janvier 2021 à 1 h 41 min #86538AnonymeInactifTu cherches toujours la petite bête
“Ne sois pas parano” est juste une expression toute faite (en rapport ici avec ton pseudo esquinté)
et c’est pas du tout le sujet du débat auquel tu ne réponds pas
décidément avec toi je ne sais plus comment m’exprimer
faut toujours surveiller la forme et tu t’attardes sur le moindre détail
autant nous éviter que de se prendre le bec à chaque fois3 janvier 2021 à 10 h 16 min #86615AnonymeInactifLOL ! Caliméro + faites ce que je dis pas ce que je fais : quand on te dit que tu es intolérant, on t’insulte. Quand tu dis “ne sois pas parano” : c’est une expression toute faite, lol ! 🙂
Oui, oui. Chez toi tout va bien, et chez moi “je cherches TOUJOURS la petite bête”
Tu dois être le seul qui n’arrive pas à voir comment tu es 🙂
” sujet du débat auquel tu ne réponds pas”
Je t’ai déjà répondu. C’est toi qui ne veut pas voir les réponses et argumente à nouveau avec les MÊMES arguments qu’on a DÉJÀ contre argumentés. Je ne vais pas perdre mon temps in aeternum avec quelqu’un qui “n’entend” pas 🙂
“décidément avec toi je ne sais plus comment m’exprimer”
Une vraie victime…. en plus d’être victime des femmes, des beaux, des flics, des psychiatres, de la vie, du monde, etc … 🙂
“faut toujours surveiller la forme et tu t’attardes sur le moindre détail”
“FAUT” “TOUJOURS” “SUR LE MOINDRE DÉTAILS” etc. Que du vocabulaire de quelqu’un avec qui on peut discuter objectivement et sereinement 🙂
Bonne continuation ! 😉
3 janvier 2021 à 13 h 48 min #86624AnonymeInactify a que toi avec qui je me dispute systématiquement edouarduke
ça te fait pas réfléchir ?
j’ai lu tes arguments et ils ne m’ont pas du tout convaincu
car la psychiatrie reste cantonnée à des interprétations subjectives et ne se base aucunement sur des données objectives et précises comme c’est le cas pour le cardiologue, le podologue, l’hématologue…
Donc c’est nettement plus tendancieux et aléatoire.
Voilà pour le débat (le fond). Pour la forme, quoi que j’écrive tu seras insatisfait je pense.
Sache que j’ai un certain succès avec les femmes (ma vie personnelle n’influence pas mes opinions générales), j’aime pas les flics ou les psychiatres… Est ce pour ça que je me victimise ? Je me suis fait tutoyé, humilié, frappé par les “gardiens de la paix” alors que j’avais rien à me reprocher, faudrait que je les aime en plus ?
T’as qu’à te mettre en couple avec Astronat puisque pour elle aussi la vie est belle, tout le monde il est beau et gentil… alors que moi je suis un affreux râleur pessimiste !3 janvier 2021 à 19 h 59 min #86669AnonymeInactif@Oswog Comme tu y vas en écrivant ça : “T’as qu’à te mettre en couple avec Astronat puisque pour elle aussi la vie est belle, tout le monde il est beau et gentil… alors que moi je suis un affreux râleur pessimiste !”…………. Tu veux jouer les entremetteurs “asteur” ?
Je suis déjà en couple avec Edouarduke, comment tu as deviné ? Non je déconne, je suis en couple avec mon mari chéri mais ce n’est pas lui ! LOL
Bon sang tu es jaloux on dirait.., je suis déjà mariée et sincèrement je n’ai pas envie de trahir l’homme qui partage ma vie, je l’aime et je lui suis fidèle par amour sans avoir à me forcer (c’est dingue ça ! Oui ça existe !).., je ne peux me mettre en ménage ni avec Edouarduke (Prof), ni avec Toi (Grincheux…. Non je n’ai pas voulu écrire ça, ça m’a échappé 😉 Pardon Maître !)…
En plus je vous adore tous les deux, les frères ennemis, vous êtes si, trop, tellement… ! Siffler en travaillant c’est un bon stimulant, lalalalalalalalala ! (Blanche Neige et les Sept Nains)
3 janvier 2021 à 21 h 02 min #86674AnonymeInactifOswog c’est ta mauvaise foi qui parle. Rien de ce qu’à exprimé AstroNat ne laisse à penser qu’elle a une vision idyllique de la vie. Elle est au contraire très consciente des aspects sombres, mais ne se laisse pas emporter par eux comme toi tu le fais (car oui, beaucoup de peur et de négativité ressorte de tes posts). Et combien même quelqu’un aurait une vision idyllique de la vie, ça ne mène à rien de juger le ressenti d’une personne.
J’espère que tu ne prendras pas ce message pour un jugement car ce n’est pas le cas. Je pense qu’il y a beaucoup à apprendre dans ce genre d’accrochages. La vie ne nous met pas face à ces situations par hasard.
4 janvier 2021 à 1 h 41 min #86680AnonymeInactifça ne mène à rien de juger le ressenti d’une personne alors pourquoi tu juges le mien ? (ma trop grande négativité)
Astronat vient à peine de se raviser suite à mes “reproches” mais avant c’était différent : elle croit vraiment vivre dans un monde de bisounours, elle répète à tire-larigot que la vie est belle, que le monde est un endroit magnifique, enfin que des trucs comme ça…
Pff.. C’est cucu !
Toi tu scrutes que ses dernier posts et tu interviens juste maintenant pour m’accuser de mauvaise foi, mais moi je scrute ses messages depuis de semaines et c’est pas qu’elle est positive, c’est qu’elle est irréaliste et élude les problèmes plutôt que d’y faire face !
Si on lui rappelle les tourments du monde, ça l’emmerde car elle veut faire comme si ils n’existaient pas. Ou ça perturbe son petit confort égoïste d’occidentale privilégiée !
Elle préfère l’illusion à la réalité qui blesse.4 janvier 2021 à 4 h 27 min #86681AnonymeInactifHeureusement que nous sommes dans des débats en lignes ! A vous lire, mes oreilles n’en peuvent plus de ces discussions qui n’en finissent plus. Je ne m’estime pas très intelligente, je ne vous citerai jamais de livres ou autre références, je peux simplement vous dire que je m’ennuie de ces échanges où chacun essaye de montrer à l’autre qu’il n’a pas la bonne attitude. Faites ça en messages privés et restez dans le sujet ! Exprimez votre ressenti sans pour autant critiquer celui de l’autre. On a tous des vies, des expériences et des parcours différents. Et on ne pourra jamais se mettre dans la peau de quelqu’un (même le meilleur des psy). Nous ne sommes pas des malades mentaux, nous avons tous notre normalité propre. Le plus difficile, c’est qu’elle s’intègre dans la société, qui nous entoure. La culture est propre à chacun. Ceux que l’on peut trouver normal dans un pays peux choquer dans un autre. Le plus difficile étant de trouver une harmonie globale ou chacun pourrait vivre sa normalité.
Et pour en revenir à la médecine, psychiatrie ou autres sciences, elles se valent toutes si elle sont utilisées à bon escient. Dans de mauvaises mains elles sont dévastatrices.
Voilà m’a pensée, si vous me trouvez simplissime et inintéressante, tant pis, j’aurais exprimé m’a pensée car je suis là pour ça 😁4 janvier 2021 à 9 h 18 min #86682AnonymeInactifOswog> Ok je te répondrai par message privé. Là on s’éloigne souvent des sujets effectivement (moi en particulier, je sais et je vais essayer de faire plus attention), et puis les autres forumeurs n’ont pas envie de lire tout ça et ça se comprend.
Iza74> Peu importe l’intelligence que vous croyez avoir (moi non plus je ne sais pas citer de livre), chacun fait ce qu’il peut avec ce qu’il a et c’est très bien comme ça. Votre intervention est très pertinente et salutaire, merci.
4 janvier 2021 à 14 h 22 min #86698AnonymeInactifL’intelligence et la culture sont deux choses bien différentes, mais moi je suis fier de pouvoir dire que je lis, et pleins de livres !
Et je sais que la psychiatrie est une pseudo science (comme l’a dit Tom Cruise d’ailleurs) tandis que la psychanalyse de Freud s’effondre partout. Voir :– Le livre noir de la psychanalyse (2005)
– Le crépuscule d’une idole – Michel OnfrayComparer la psychiatrie a la médecine normale, c’est comme comparer un tournevis à un éléphant !
La “normalité” dans le sens conformisme social dépend des époques et des sociétés oui !
Mais la normalité comme “absence de pathologie” est beaucoup plus discutable.4 janvier 2021 à 15 h 29 min #86701AnonymeInactifOups ! 😮 Mais y’a de “l’agitation” ici ! 😮 🙁
Suis “revenu” car suis tombé sur ça (voir ci dessous)… mais je ne pensais pas trouver autant de commentaires pour “MONsieur” “c’est pas moi, c’est lui !” 🙂“Les recommandations de bonne pratique (RBP) sont définies dans le champ de la santé comme des propositions développées méthodiquement pour aider le praticien et le patient à rechercher les soins les plus appropriés dans des circonstances cliniques données.
Les RBP sont des synthèses rigoureuses de l’état de l’art et des données de la science à un temps donné, décrites dans l’argumentaire scientifique. Elles ne sauraient dispenser le professionnel de santé de faire preuve de discernement dans sa prise en charge du patient, qui doit être celle qu’il estime la plus appropriée, en fonction de ses propres constatations et des préférences des patients.
Cette recommandation de bonne pratique a été élaborée selon la méthode résumée en annexes 1 et 2. Elle est précisément décrite dans le guide méthodologique de la HAS disponible sur son site :
Élaboration de recommandations de bonne pratique – Méthode « Recommandations pour la pratique clinique »Grade des recommandations
A
Preuve scientifique établie Fondée sur des études de fort niveau de preuve (niveau de preuve 1) : essais comparatifs randomisés de forte puissance et sans biais majeur ou méta-analyse d’essais comparatifs randomisés, analyse de décision basée sur des études bien menéesB
Présomption scientifique Fondée sur une présomption scientifique fournie par des études de niveau intermédiaire de preuve (niveau de preuve 2), comme des essais comparatifs randomisés de faible puissance, des études comparatives non randomisées bien menées, des études de cohorte.C
Faible niveau de preuve Fondée sur des études de moindre niveau de preuve, comme des études cas-témoins (niveau de preuve 3), des études rétrospectives, des séries de cas, des études comparatives comportant des biais importants (niveau de preuve 4).AE
Accord d’experts En l’absence d’études, les recommandations sont fondées sur un accord entre experts du groupe de travail, après consultation du groupe de lecture. L’absence de gradation ne signifie pas que les recommandations ne sont pas pertinentes et utiles. Elle doit, en revanche, inciter à engager des études complémentaires.Ce document a été validé par le Collège de la Haute Autorité de santé en novembre 2014. © Haute Autorité de santé – 2014
Les recommandations et leur synthèse sont téléchargeables sur http://www.has-sante.frHaute Autorité de santé Service documentation – information des publics 2, avenue du Stade de France – F 93218 Saint-Denis La Plaine Cedex Tél. : +33 (0)1 55 93 70 00 – Fax : +33 (0)1 55 93 74 004 janvier 2021 à 15 h 29 min #86702AnonymeInactifDésolé si je ne prends pas part au reste du débat : j’ai déjà donné 😉
4 janvier 2021 à 15 h 47 min #86703AnonymeInactift’as bien raison pour une fois edouarduke
J’ajoute ici, et sans rapport avec toi, qu’une étude ordonnée par l’état en 2005 sur la psychanalyse a montré que celle ci était plutôt inefficace, inutile, en plus d’être longue et couteuse…
Bien sur ça n’a pas plu à Elisabeth Roudinesco la papesse de Freud en France, et les psychanalystes ont fait pression pour supprimer les résultats de cette étude !!
Rappelons aussi que Freud prenait 450€ la séance et refusait donc ainsi de “soigner” les pauvres…
Ce fut pas une grande perte pour eux étant donné qu’ en fait il ne soignait personne4 janvier 2021 à 18 h 00 min #86719AnonymeInactif🙂
Pour expliquer à ceux qui ne sont pas initiés à ce qu’est la psychothérapie, la psychanalyse est UNE “école” de la psychothérapie basée sur les travaux de Freud et n’est PAS du tout LA psychothérapie dans son ensemble qui comporte plusieurs “approches” ou écoles.
Encore pour ceux qui sont intéressés, comme montré plus haut, les psychiatres sont avant tout des médecins (même formation académique de 8 années) qui ont fait une spécialisation supplémentaire de 2 ans après leur diplôme en médecine.4 janvier 2021 à 19 h 30 min #86726AnonymeInactifMédecins si tu veux
N’empêche qu’ils collectionnent les mauvais diagnostics
Anders Breivik a été jugé schizophrène puis normal!
Hitler, y a presque autant de diagnostics que de psys !
A chaque fois qu’on leur demande dans les tribunaux si un individu peut récidiver, ils se trompent
Mais je comprends que dans une société qui a tué Dieu, on ait besoin de nouveau “gourous” qui remplacent les curés…4 janvier 2021 à 19 h 33 min #86727AnonymeInactifLis ça :
“La psychologie d’Adolf Hitler est un terme générique qualifiant les analyses psychiatriques du Führer allemand Adolf Hitler (1889-1945), dirigeant de l’Allemagne nazie, et déclarant qu’il souffrait probablement de maladies mentales. Durant sa vie et ce jusqu’à sa mort, Hitler a souvent été soupçonné de souffrir de troubles mentaux tels que l’hystérie, la mégalomanie ou la schizophrénie paranoïde. Les psychiatres et les psychanalystes qui ont diagnostiqué chez Hitler des troubles mentaux comprennent des personnalités connues comme Walter C. Langer ou Erich Fromm. D’autres chercheurs, comme Fritz Redlich, ont émis l’hypothèse que Hitler pouvait ne souffrir d’aucun trouble psychologique”Et encore je te fais un copier coller de la version courte!
psychotique, normal, schizo, hystérique… vachement fiables ses “médecins” !4 janvier 2021 à 21 h 05 min #86732AnonymeInactifLu !
5 janvier 2021 à 8 h 56 min #86738AnonymeInactif“t’as bien raison pour une fois edouarduke”
LOL 🙂 Y’a que lui qui ne se rend pas compte de comment il s’adresse aux autres 🙂 -
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