Les critères de l’amour physique identiques à ceux du nazisme ?
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15 décembre 2020 à 21 h 00 min #85796LuviniaParticipant
@Oswog, je ne me moquais pas de vous. Sinon effectivement il y a beaucoup de réalisme dans ce que vous décrivez, mais comme dit plus haut par moi et plusieurs internautes, l’amour ne se résume pas uniquement (mais ça compte aussi) à une apparence physique, ou c’est purement sexuel, et même là, une personne qui sait s’y prendre peut faire oublier une apparence moins avantageuse.
- Cette réponse a été modifiée le il y a 3 années et 4 mois par Luvinia.
16 décembre 2020 à 0 h 54 min #85807AnonymeInactifJe ne t’en veux pas, et tu peux me tutoyer. Je sais taquiner sans méchanceté aussi…
Je sais également que je ne suis pas le plus grand gai luron que la Terre ait jamais portée. Mais je pense à force de réflexion et d’expérience, qu’il faille vraiment choisir entre deux versions :-sublimer le sexe par le romantisme, et faire l’éloge de la passion amoureuse…. mais ce sera aussi faire l’éloge de la beauté, des inégalités face à la jouissance, de l’idéalisation d’un partenaire etc… Stendhal est tombé dans ce piège en osant prétendre dans De l’amour que le véritable amour vient de l’imagination !!!
– désacraliser le sexe… mais sans pour autant faire des partouzes à tout va et devenir vulgaire … Proust ou Albert Cohen se sont moqués de la passion… Dans Belle du Seigneur, un homme très beau se déguise en vieillard parce qu’il ne veut pas être aimé pour sa chair… tandis qu’une femme “aime” un homme uniquement pour sa beauté, et l’auteur fait comprendre que c’est un amour qui ne “vaut rien”… Une dent en moins aurait suffi pour qu’elle ne l'”aime” pas. En plus la passion fait souffrir et vient d’ailleurs étymologiquement dut mot “souffrir”, et elle est souvent illusoire autant qu’éphémère…
Le mieux serait donc de trouver quelqu’un qu’on aime pour lui-même, sans l’idéaliser, avec ses qualités et ses défauts, et que la complicité sexuelle coïncide. Mais dans une vie courte a t-on vraiment le choix ?
16 décembre 2020 à 8 h 10 min #85820AnonymeInactif“Le mieux serait donc de trouver quelqu’un qu’on aime pour lui-même, sans l’idéaliser, avec ses qualités et ses défauts, et que la complicité sexuelle coïncide”
Carrément.
“Mais dans une vie courte a t-on vraiment le choix ?”
Clairement oui aussi.
Il y a des gens qui se sont trouvés. Et pas qu’1 ou 2. Je t’accorde que ce n’est pas toujours le cas et que ce n’est pas forcément facile d’attendre ou d’atteindre ce moment qui permettra de le trouver.
Comme pour tout, tout dépend de ce qu’on veut dans la vie : si on ne veut ou ne peut pas être seul et qu’on préfère être mal ou pas comme on voudrait accompagné que rester seul jusqu’à ce qu’on rencontre 1 personne qui nous correspond vraiment et bien on peut ne pas connaître ça. Si ça n’arrive pas parce que ça n’arrive pas… la aussi on peut faire le choix d’une solution palliative ou pas.Pour ma part je ne désespère pas et continue à croire que ça peut arriver. Au final dans la vie je crois que c quand on a perdu la foi (il n’y a rien de mystique ou religieux pour moi dans ces termes) que c la fin. A partir de la s’il reste quelques années de vie au corps elles sont plutôt aigries et pas très joyeuses. Et c vraiment dommage.
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